"Dans un monde où la valeur essentielle est devenue l’individualisme (accumuler des biens matériels,jouir, gagner de l’argent, avoir du prestige social), pour les personnes à la marge, la famille reste le premier lieu de relations, et comme ce lieu est à haut risque (valeur-refuge), cela rend le lieu névralgique.
Or les certitudes au niveau de la famille sont également bousculées...Pour ne laisser personne de côté en famille, la seule attitude possible est LA PORTE OUVERTE! C'est-à-dire accompagner, discerner ,intégrer (pratiquer la parabole du Bon Pasteur (y aller à petits pas jusqu’à l’intimité avec le Christ, en s’appuyant sur la Foi qui soigne et qui guéri (cf Amoris Laetitia, Pape François).
Dans cette société black-boulée, les grands –parents peuvent assurer la bienveillance et reparler de la source (écrivez, racontez vos racines aux enfants et petits-enfants), donner du temps, favoriser la reflexion avec les plus jeunes et faire des ponts , pour plus de lien avec l’autre, le frere ,le voisin, avec la terre. ...et le monde rural peut être pilote dans ce retour...".
Après l’exposé de P.J-M Bocquet, par petits groupes , étaient évoqués un bonheur et une difficulté vécus en famille, d’où sont ressorties les intentions de prière universelle de l’eucharistie célébrée par P.Yves Spriet ce 4 avril 2017 à Septmeries.